Nana Quinn est un·e artiste adisciplinaire perdu·e quelque part sur l’autoroute 20.
Mû par une démarche hybride, iels créé des mondes intimes et poétique dans lesquels les mots dialoguent toujours avec des gestes, des sons, des images ou des objets. Ses oeuvres sont des mises à nu qui questionnent l’expérience de l’existence humaine et la malléabilité des frontières entre certains concepts perçus comme contradictoires tels que la vie et la mort, la mémoire et l’oubli, le visible et l’invisible, la douleur et le ravissement. L’impermanence est sa petite obsession. Dans les contextes de diffusions de l’art (reconnus ou infiltrants) comme dans sa vie personnelle, l’artiste s’applique à créer des zones d’échange sensible dans lesquelles le dialogue et l’indulgence peuvent survenir.